ORIGINE    

doux humain ▬ à la sempiternelle existence d’un ange, à l’oval sublime des bambins sous les franges. ô idylle vénuste se colle au nacré éperdu, bohème se rattache aux souvenirs ; du déchu, les essences sentinelles d’une rêverie univers. au gré du boréal, il s’apaise, orée des percées où les esprits se révèlent.

enfant a quitté les terres d'antan
effluves des passés condamnés.

beaux souvenirs ▬ ô foutaise ! d’une échine bénie sous la braise. bohème se rappelle, de quelques images grossières, seulement des éclats mémoriels. tendre intempérance aux blandices jouvence. glorieux coeur des réalités s’abîme aux mélodies patelines du folklore japonais. sève mêlée aux rêves stélés, il s’colore les veines d’une double nationalité. pourtant, rien de tout cela ne semble se rallumer !

Fièvre identitaire

ゆ ▬ HWANG YURI. les flocons, le hiémal - (ex)-prénom, le doux mistral. et ça brille, sous les paupières bénies. on le caresse, plein de tendresse. la beauté nitescente brûle en éclat ; patronyme éthéré s’oublie entre les cauchemars. combien l’avait-on averti, de vouer les psalmodies aux DIVINES ! les magnifiques.

amouraché des inexistants,
car yokai surpris lors des nuitées

à mourir ▬ sur les solstices, ébène princier imprègne les lèvres condamnées. jamais n’allait-il, louer, ô déités flaccides auxquelles le teint semblait toujours algide. curiosité piquée, frivolité d’une jouvence des plus contestées. foutu gamin refusant de prier aux temples vénérés. voilà les souvenirs ! les rêves peinturlurés, à croire qu’il continuerait d’exister.

CLAIR LUNAIRE

poèmes de désamour ▬ bien enjolivé, l’bambin rêvé, sous le temple amoureux des fidèles louanges chantées. fracas poétique qui orne les vieilles mélancolies, yuri bercé sous les miséricordes japonaises lorsque le soleil en avait foutrement assez d’embrasser la Lunaire. et les baisers, les mots fâcheux ( la braise ) des   m a l h e u r e u x. Vingt deux ( couleurs ) vagabondant entre les ruelles des cieux, envoûté profane des déités ! pour qu’un jour l'cœur se laisse crever, sur les draps abîmés.

AUPRES DES ESPRITS

années en dizaine ▬ ainsi bohème sous les aurores stélées, se laisse esprit hurler des peccadilles infantiles. amourette languide d'un soleil livide. mais que l'amoureux semblait si heureux auprès de ces cieux, corallins, adorable à ses pommettes au déclin cristallin. amer, fugace, éclats de milles affres.

DÉSABUSÉ — au myocarde océanisé.

yuri naïf de croire que les cœurs abritent — Que les lueurs du pardon prospèrent à sa psyché maudite. mais il y a les échecs aussi qui scintillent, oh mais, les constellations des regards erratiques.  te voilà embarqué, dans les supplices des abysses !  yuri l'idéal d’amaryllis.

profession :

théâtre nô ▬ lorsque maquiller les aurores devenait les délices d’un bambin aux airs météores. en ses veines, les réminiscences idylles ; hybride aménité, le perfide ! d’un humain maudit aux esprits. désaccord des-astres! ô môme cajolé, amer d’y laisser brûler tant de poésies parmi les éclosions perséides. lunaisons funestes à ses envoutantes arabesques ; poupée de son, poupée aux plus belles déclinaisons. foutrement vipère sur les théâtres, au devant de la scène.

écrivain ▬ lorsque le petrichor ne s’éclot aux danses, les voraces corps. ô luminescence, écriture permettant d’inhaler les souvenirs sénescence. ô remords, des sentimentales brûlés à l’indigence poétique des admirables voluptés. orageuse harmonie du glossaire tant appris, marbre sur lequel sont parfois oubliés des nigelles, des lettres et parfois même, les doux mots, les bas mots ; les souvenirs, et les maux gras. La tendresse, l’osmose des émois.

Spécialités :

baku ▬ ô foutoir ! lorsque le soir, il apparaîtrait dans vos bras. lunaisons colériques ; le rencard sous l'Opale onirique, 月読 soufflant l'effroi indélébile. Et les éclats ( de voix ) contre les esprits ( étroits ). Astre mirobolant qui s'allume aux coins des entrées. il se glisse dans les demeures, parfois pour y dormir, ou laisser les cauchemars mourir. yuri aux délices de rêverie, il s'nourrit à même les délires cauchemardesques. petit astre dérobe l'imaginaire ; jusqu'à pleurer la tête remplit de rêves.

effronté d’allumer Soleil
sous les brûlures de la belle Ébène

oubliable ▬ invisible et fantomatique, dès lors où il s'oublie des consciences. il peut se cacher des regards, dans la noirceur de la nuit. gamin ne vit que si les esprits s'animent de lui. vives rêveries qu'il vole en souvenirs. parfois il peut jouer sur la mémoire, si les rêves y sont reliés à des passés ressassés. rien ne disparaît, tout semble maquillé. bohème se rappelle bien des histoires d'autrui malgré que les siennes, semble-t-il les détruire. car malgré tout excellente mémoire,  ô foutrement baignée de gloire.

Logement :

vagabond ▬ car enfant ne priait guère les Lunaisons. maudit par certains, adolescence braquée par l'abandon. bambin n'apparait qu'à l'orée de certaines maisons, autour des temples ; ô et bohème semble seulement déambuler sur les chemins de vie. existence néant d'un yokai souillé de silence. paix immarcescible aux plaisirs thébaïde, gamin reste parfois à l'orée des forêts lorsque le coeur se lénifie aux frondaisons des déités.

Orientation :

DEMI-ROMANTIQUE

amouraché des coeurs ▬ des pensées. laconique gamin aux livides frivolités. la nescience des âmes oubliées, l’pulsant ne battant que pour les avérés ! ceux des plus touchés, ô môme ne pouvait qu’offrir aux déités, ses louanges, ses nervosités. la conscience ébruite les sentiments que pour ceux dont le sonore a hurlé.

car amour se laisse hâvir des malheurs endormis.

aurores princières, minimales à sa tête de beau gamin. peccadilles s’enfuient, de ses lèvres quelque part maudites, les je t’aime, les je t’apprécie - - - rien ne colore sa vie, que les amitiés précises.

Statut :

solitaire ▬ bohème caresse sensiblement les malheurs, puisque l'art astral se laisse un désordre à son âme. et poser milles étoiles aux femmes, aux encens masculins qui débordent des coeurs — ô MISÉRICORDE ! emportez lui, fracassez le cardiaque de celui qui vit. embrassez le, frappez le vinyle machinal qui l'encense des douleurs boréales.

Particularités

soleil timide ▬ car sous les nuages, plus rien ne vit. bohème s'efface des onyx lorsque le chérubin des pommettes patelines se rougit. naissantes blandices des psyché enjolivées. les tendresses malmenées, des univers chahutés. petit s'habille le visage d'un adorable masque ; la magie idyllique du maquillage.

yuri miraculé,
de vivre si près.

sommeil livide ▬ présence incomprise. ô plus se souvenait-on de lui, plus semblait-il vivre auprès des esprits. frappantes consciences voudraient bien d'un poétique aux âmes d'idylle. car sous les regards aurores, il n'est que tout de suite perçu comme un mirage ; simple chapardeur des ruelles, errant dans les maisons à la recherche de rêverie cauchemardesque. alors quand il devient étincelle aux psyché d'autrui, yokai apparaît, comme une adorable tendresse de la nuit.

psyché encalminée

étoffe bigarrée de la belle entité — douce fébrilité d’un humain égaré. gamin semble muet auprès des constellés, simplement réservé ! introverti, épeuré. camaieux de frivolités lorsque les prunelles sont touchées, après tout, toujours fasciné par les illusionés — le monde des esprits caché. fragment souvenir, à sa conscience docile. influençable, dirait-on, gamin des plus effaçables.

amour épître; d’écrire les sentiments stupides.

observateur plutôt que beau parleur, yuri rallume les silences dévastateurs. effrayé des divins toucher, car jadis son corps semblait frappé ! au doux violacé des vives galaxies.  frisson incoercible dès lors où le divin doigté se posait à sa peau lactée, yuri éperdu ; face aux réalités décousues.

il s’crampe à la catharsis des plus maudites.

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infp-t médiateur

calme — peu expressif
silencieux  — poétique
joyeux — réfléchi

amorphe — maniaque
timide — peureux
méfiant — nonchalant